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Enfants du Paradis, les bénis de Dieu en Jésus-Christ.
3 novembre 2015

Témoignage de Moussa Koné, ex musulman _ Partie 1

Ce témoignage est transcrit à partir de l’Audio disponible sur Enseignez-moi. La pertinence de cette copie tient du fait des incompréhensions observées dans la version html sur www.answering-islam.com. Cette dernière version nous a servis cependant à retrouver les noms de société et les mots arabes que nous ne pouvions reconnaître à l’écoute.

Nous postons le témoignage au fur et à mesure des transcriptions. Sur 5 épisodes selon la grâce de Dieu. A la fin nous vous offrons le texte complet. Nous restons à votre disposition pour toutes remarques, commentaires. Bonne lecture et que Dieu vous bénisse.

Amour de Christ.

Témoignage de Moussa Kone, ex musulman 1

Introduction

Je vous salue frères et sœurs. Je m’appelle Moussa Koné. Je suis le troisième et dernier fils de la famille des Koné. Mon père s’appelle Ibrahima Koné. Je voudrais vous parler aujourd’hui de mon témoignage. Ce que j’ai vécu. Le témoignage c’est quelque chose de réel, quelque chose dont on a vécu, et dont on peut montrer des preuves. Et en même temps je vous donne un conseil : frères et sœurs, ne vous laissez jamais tromper sur le salut de votre âme. On peut vous tromper par un chèque sans provision. Votre femme, votre père, votre sœur peut vous tromper ; mais le salut de votre âme, que personne ne vous trompe dessus.

Mon enfance

Voici, je suis né et à l’âge de trois ans, j’ai déjà commencé avec mon père à lire le Coran. Et à six ans, je pars à l’école comme les autres enfants. Mais trois semaines après en classe, j’ai des problèmes de vue et je ne vois pas clair. Je suis opéré quelques jours après ; donc je reste à la maison. Mon père était content de cela, parce qu’il ne voulait pas me mettre à l’école comme mes deux frères aînés. Puisque dans sa famille il y a 40 enfants et personne n’a été à l’école.

A ma naissance, il était déjà Imam. Alors, il m’a initié au Coran. A la maison, tout ce que je faisais c’était lire le Coran. Je lisais très bien et j’aimais vraiment lire le Coran. Ainsi, à l’âge de 13 ans, je suis candidat au CEPE (candidat libre), je suis admis. Mais tout de même, ma vie scolaire n’est pas régulière. Je passe tout le temps à la maison à lire le Coran jusqu’à l’âge de 14 ans. A cet âge déjà, je récite vraiment bien le Coran que j’enseigne des enfants de mon quartier. Et il y a pleins d’enfants, des Kéré, des Bété, des Wèbè qui sont devenus… et des Baoulé même qui sont devenus des musulmans à force de lire le Coran avec moi. Et tout le temps, tous les dimanches, je passais mon temps à enseigner le Coran aux enfants de mon quartier.

L’Islam conduit-il au Paradis ?

Mais un jour, en lisant avec mon père, je lui ai posé la question de savoir : si ce soir, toi et moi nous perdons la vie, est-ce que nous pourrions aller au Paradis ? Mon père m’a répondu dans toute sa sincérité. Il m’a dit : vraiment mon fils, je ne sais pas. Et je ne peux savoir parce que le Coran ne dit pas clairement si on peut entrer au Paradis ou non. Alors, j’étais très touché mais mon père était sincère avec lui-même et avec son Dieu et avec moi. Il était sincère. Il savait que je pouvais chercher aussi et trouver et ça m’a beaucoup troublé ce fait là. Mais j’étais très initié au Coran et surtout à la lecture de certaines sourates.

Usages maraboutiques du Coran

Vols d’argent avec l’aide des esprits

Et je voudrais toucher un passage, celui-ci : le fait que nous avions le pouvoir d’utiliser les versets coraniques pour faire d’autres choses, par exemple : très jeune à l’âge de 18 ans déjà, nous sommes partis un soir à Vredi. Il était 2 heures du matin, l’emplacement actuel de la S.I.R[1]. Il y avait des broussailles et du sable. Nous nous sommes assis dans du sable, et j’ai commencé à réciter le Coran avec les deux autres personnes. Je récitais la sourate : Yacine (il dit des mots en arabe). Je récitais, je récitais, je récitais.

Dix minutes après, il est apparu un être, un être bizarre, à quelques mètres de nous ; et l’un de nous s’est détaché, Adama s’est détaché pour aller parler avec cet être là. Alors, nous sommes là. Je continuais toujours de réciter. Moi, je ne savais pas ce qui se passait. Mais on me disait simplement de réciter. A cause de mon habilité à la récitation du Coran, de cette sourate Yacine, on me disait toujours de réciter. Et cet être qui a apparu a conversé avec Adama pendant 20 à 30 minutes ; et il est revenu. Quand il est revenu, j’ai demandé à mon père : mais qu’est-ce qui se passe ? Qui est celui-ci ? Il m’a dit, c’est un esprit et tu verras ce que l’esprit là fera demain.

Alors, le lendemain, nous étions dans la cour. Vers 16 heures, nous avions fermé toute la cour. Personne n’y était, nous étions trois. Nous avons ouvert une grande malle. Et nous avions commencé à prier, à réciter le Coran. Je récitais toujours Yacine et aussi la sourate Hayatere Kororecire, celle qui dit : Allah la hi la… Je continuais de réciter et cet homme Adama a brusquement appelé le nom du Sénégal. Quand il a appelé le Sénégal, il y a des billets de banques entourés de plastiques qui sont descendus d’en haut, à partir du Sénégal. Et ça tombait, ça tombait, je regardais, je voyais, du ciel, ça tombait. Ça tombait, ça tombait, ça tombait et bientôt la malle avait commencé à monter et aussi il a appelé, brusquement il a appelé Haute-Volta à l’époque (actuel Burkina Faso). Et l’argent a commencé à tomber ; des billets de 5000,  tombaient de là-bas, ça tombaient, ça tombaient du ciel et nous voyions, j’étais astonished[2], étonné. J’avais beaucoup peur, et je voyais l’argent qui tombait. Et il a continué et moi, j’ai toujours continué de réciter la sourate Hayatire Korecire, et l’argent tombait. Il a dit maintenant Togo ; quand il a dit Togo, l’argent tombait, et ça venait du Togo et brusquement il a dit Ghana. Quand il a dit Ghana, c’étaient les cedis qui tombaient, alors on a dit : ah ! On n’a pas besoin de cedis, arrête-ça et il a arrêté.

Et voilà bientôt la malle étaient pleine ; et d’où venait cet argent là, ça venait des banques de ces pays cités, avec le pouvoir des versets coraniques que nous utilisions. Imaginez-vous les comptables de ces banques là. Demain, ils arrivent au service, il y a deux, trois, quatre, dix millions qui sont manquants et que vont-ils faire ? Pourtant, nous étions ici et nous manipulions tout ça.

Cet argent est resté dans la malle et un serpent gros est venu en-dessus et nous avons couvert. Cet argent devait rester 40 jours avant d’être utilisé. C’est pour vous signaler que la maîtrise du Coran nous donnait une autre science ; une autre façon de l’utiliser.

Envoûtements amoureux

Et en deuxième lieu, je vais vous donner un autre exemple.

Il y avait un homme qui aimait une femme. Il était professeur et la femme était là, une blanche. Il n’avait aucun contact respectif. Il aimait la femme, mais la femme ne l’aimait pas. Elle n’avait même pas des pensées d’amour. Et cet homme est venu me trouver un jour et me dit : Moussa, fais-moi quelque chose pour que j’épouse cette femme là. Je lui ai dit : va me chercher des cheveux de blanc. Il est allé au plateau chez les coiffeurs, il m’a apporté des cheveux de blanc. Et j’ai fait, j’ai pris son nom, j’ai fait kawatim, ceux qui sont marabouts savent. J’ai fait kawatim, les chiffres de son nom sont sortis, et aussi je sors les chiffres du nom de la femme. Et j’entoure, je fais un carré, je fais des chiffres, je les mets en ordre, et je mets le nom du prophète Mohamed des quatre côtés. Et aussi, je fais le papier, aussi un talisman et je l’écris sur le walahab. J’ai donné à ce monsieur et bientôt, il y a eu un mariage après trois mois.

Maintenant, ils ont un enfant qui a quinze ans. Alors, c’était un mariage, pas selon la volonté de la femme. Elle n’en savait rien, elle était manipulée par le pouvoir que nous avions utilisé à travers le Coran. Mais maintenant, je regrette cela parce que je rencontre cet homme, le pouvoir de Dieu est illimité mais le pouvoir du diable a une fin. Le mariage ne marche plus. L’enfant a quinze ans. Je me suis repenti devant cet homme. Je lui ai dit : « mon frère, si tu savais ce qui s’était passé ? Maintenant, c’est pas bon. C’était un pouvoir démoniaque qui vous avait uni ». Vraiment je me suis repenti en larmes devant cet homme.

Ceci était une étape pour vous citer un peu ce que nous faisions avec la maîtrise du Coran. Mais ça n’a rien à voir avec l’Islam réel.

Emploi avec les pétroliers américains

Je viens au fait que… quand j’avais demandé à mon père : est-ce que nous pouvions être sauvés si nous mourions tout de suite ? Et il m’a dit : selon le Coran, il ne savait pas. Ce n’était possible. Cette idée m’ayant frappé, j’ai gardé ça en tête pendant des années. Et aussi, je continuais de le servir dans la mosquée, puisqu’Il était déjà Imam. Alors, je suis arrivé à un point, à un point où il fallait que je travaille parce que mon père avait tout, tout et tout. Mais seulement, il n’avait pas l’argent en liquide.

Donc, j’ai commencé à travailler pour une immense société, ça été à la SONITRA. Et après, je me suis trouvé à la SOTICI. Finalement, un jour, en 80, je me suis trouvé comme marin. Comme marin parce que le président de la république avait sablé le champagne. Il avait dit qu’il y avait du pétrole en Côte d’Ivoire. Et j’ai eu la chance d’être parmi les premiers ivoiriens à travailler sur ces bases pétrolières.

C’étaient des plateformes américaines qui foraient dans la mer pour extraire le pétrole. Et vraiment, j’ai eu un remplacement de 2 semaines dessus et 2 semaines ça a finalement duré 8 années. Pendant ce temps, je me trouve déjà en 80, en 84 du moins. Et en 84, il y avait le commandant du bateau sur lequel je travaillais, c’était S.E.D.C.O.G. ; et ce bateau était très énorme, grand. Et le commandant s’appelait Welford. Il était du Mississipi. Et un jour, il m’a rencontré sur le pont et il m’a dit, mais tu es musulman ? Parce qu’il connaissait mon nom Moussa. Je lui ai dit : Je suis musulman.

Et là on se trouvait déjà au golfe du Mexique. On avait fini le contrat en Côte d’Ivoire. Et lui, quand je lui ai dit que je suis musulman, il s’est pris de passion pour moi. Il m’a beaucoup aimé. Il m’a dit : ce soir, je viens dans ta cabine pour parler avec toi. J’étais étonné. Parce que le commandant, c’est le président de la république qui s’appelle le bateau. Il commande les hommes et les machines à bord et lui, le bateau étant grand, sa chambre se trouvait au quatrième étage et moi j’étais au rez-de-chaussée. Et il fallait que lui vienne à bord avec moi, qu’il vienne dans ma chambre pour causer avec moi. J’étais finalement le seul africain et le seul ivoirien, le seul nègre à bord. Il y avait 200 blancs maintenant. Tous les autres africains avaient débarqué avec la fin du contrat ivoirien.

Conflits personnels avec la Sainte Bible

Donc, j’étais là à 20h, je suis arrivé dans ma cabine et monsieur Welford, le Commandant du S.E.D.C.O.G. est arrivé. Il a sonné à la porte et j’ai ouvert la cabine. Et comme d’habitude, j’avais mon Coran et je lisais. Je me suis assis après lui avoir ouvert la porte. Mais j’ai remarqué dans sa main, il avait un livre et il était écrit dessus : Holy Bible (Sainte Bible). Il est venu s’asseoir à côté de moi et il m’a dit : je suis venu ce soir te parler de Jésus. Quand il m’a dit ça, il y a quelque chose qui s’est passé en moi. J’étais fâché à l’intérieur, seul le nom de Jésus m’énervait. Alors je me suis levé subitement, j’ai regardé sur mon lit, il avait déposé sa Bible. J’ai pris cette Bible là, je me suis dirigé vers le hublot, c’est-à-dire la fenêtre du bateau, j’ai pris sa Bible là, et je l’ai jetée dans la mer. Nous étions en pleine mer et il ne pouvait pas aller récupérer quelque chose.

Fin de la partie 1

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[1] Société Ivoirienne de Raffinerie

[2] Astonished, mot anglais qui veut dire étonné (l’orateur a travaillé avec les américains)

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